laisser aller

Toutes Ugg dehors, je suis.

Comme on arrive bientôt au printemps (genre dans 6 mois ça devrait être bon…) (on-y-croit!on-y-croooit!), je suis passée au modèle plus court, réservant les plus hautes pour mes longues soirées sous un plaid, à mater Dexter.

Et DEFINITIVEMENT, c’est un bonheur A-BSO-LU.

Je répète.

BONHEUR ABSOLU!!

Mais c’est aussi un pousse-au-laisser-aller.

Ce jour-là, j’avais fait un effort, petite blouse-mignonne et jolie-jupette histoire de ressembler à autre chose qu’à un sac poubelle vivant.

Mais hier, j’ai craqué et la malédiction de la Ugg trop confortable m’a frappée.

J’ai traîné, toute la journée en jean trop grand et vieux pull. Le tout savamment enroulé dans un long gilet. Noir, le gilet, évidemment, sinon c’est pas drôle.

Par dessus ça, au moment de sortir de chez moi, j’ai rajouté une doudoune et un bonnet.

Je ressemblais à une starlette-défraîchie en lendemain de soirée, tenant vainement de passer incognito pour aller acheter son café, au Starbucks du coin.

(Mais siiii, vous savez, ces filles qui ne font pas grand chose de plus que de se faire shooter par des paparazzis (paparazzo??) un peu tout le temps et n’importe ou…?)

(Quoi? Des blogueuses mode?)

(Meeeeeuh non!)

Pas glorieux, quoi.

Mais au final on revient à ce que je disais hier…

Passé un certain stade (ça marche surtout en fonction des saisons, je pense…) on fini par relâcher un peu la pression-de-la-sape.

Et on fini surtout par en avoir ras la couenne de passer des heures à chercher comment empiler joliment et chaudement (c’est une équation quasi impossible! Chaleur ne PEUT PAS rimer avec joli! C’est soit tu es bien sapée mais tu te cailles toute la journée, soit tu es bien au chaud mais habillée comme un cageot. Life is hard, et ouais).

Mais allez, rassurons-nous, le printemps n’est plus si loin. Hein? Hein? Heeeeein???

(La fille au bout du rouleau)